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Est-il suffisant de savoir bien parler pour parler juste ?

On est étonné de voir un économiste dire tant de billevesées et se conduire en Macroniste de la pensée...

Un beau parcours : ses travaux portent sur la croissance, la politique économique, l'organisation territoriale et la santé. Il est directeur d'études et enseignant au sein du master 2 et MBA droit des affaires et management-gestion de l'École de droit et de management à l'université Paris II Assas. En 2006, il fonde le cabinet de conseil Asterès. Il est vice-président du cercle Turgot qui regroupe des dirigeants libéraux de grandes entreprises et des responsables politiques.

C'est un contributeur régulier pour Le FigaroLes ÉchosLe MondeL'Express, le Financial Times... Il intervient régulièrement dans les émissions : C dans l'air sur France 528 minutes sur Arte, / 24H Pujadas LCIL'Info du vrai sur Canal+, 19H Ruth Elkrief sur BFM TV, Les décodeurs de l'éco sur BFM Business, sur Radio Classique dans Accords / désaccords avec Guillaume Durand. En septembre 2016, le Figaro écrit que Nicolas Bouzou fait partie « depuis quelques années » de « cette poignée d'économistes invités » sur les plateaux télé « dès qu'on cherche un expert »

Le documentaire « Les nouveaux chiens de gardes » est plus critique à l'égard de cette présence médiatique en décrivant à la fois la proximité avec le milieu financier des économistes présentés comme des experts, mais remet aussi en question la compétence même de ces experts dans leurs analyses. Nicolas Bouzou est cité entre autres parmi ces économistes fréquentant les plateaux et pourtant inaptes à voir les signes révélateurs d'une crise et à vision unilatéralement libérale. En avril 2008 d'ailleurs, il assure dans ses conférences que la crise n'a pas vraiment de réalité et dans ses ouvrages que « c'est le moment d'acheter en Bourse » alors que la crise économique survient peu après.

Nicolas Bouzou, l’économiste médiatique qui accable les chômeurs

Au travail, tas de fainéants !  Par Martine Le Gall - 13 septembre 2018

A en croire l’économiste Nicolas Bouzou, les chômeurs seraient largement responsables de leur situation. La réalité est un peu plus complexe que ça… Nicolas Bouzou martèle, à chaque fois qu’il en a l’occasion (et c’est souvent le cas dans les médias), que 9,2 % de la population active était au chômage en France au premier trimestre 2018 alors que 41% des entreprises de moins de 250 salariés déclaraient d’importantes difficultés de recrutement.

Oui la formule, "moi je traverse la rue et je trouve du travail..." est si méprisante pour celles et ceux qui cherchent, et leur vie n'est pas faite uniquement de cette recherche, elles et ils ont des familles, une vie sociale, des contingences...

On se demande sur quelle planète vivent ces personnes ?

Il est bien sympathique ce jeune homme à lunettes, avec un discours clair et engageant, mais que connait-il de la dureté de la vie, du quotidien ?

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