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CEDRIC PONTI :

Quel superbe travail...  lisez et régalez-vous, en bas de page le lien vers le site web

 

Il ya des moments où rien ne vous prédestine à avoir une vibration. Vous vous promenez en ville, simplement, pour faire une simple course quelle qu'elle soit et PAN vous tombez nez à nez sur une façade peinte...

Et là votre univers est bouleversé, vous restez bouche bée devant une œuvre gigantesque, elle vous happe, comme ça en une fraction de seconde. Oui c'est surprenant et beau.. 

Alors, vous partez à la découverte de l'artiste, autant pour comprendre sa motivation que pour savoir qui il est...

Certes, né dans la rue, investissant l’espace public car interdit des lieux d'expositions classiques, l’Art Urbain est devenu de fait, revendicatif et donc militant. Une dimension qu’il possède toujours, même si son ouverture à toutes et tous, a fait perdre de l'action militante que de grands graffiteurs tel JONEONE ont permis de faire émerger avec la musique de NIQUE TA MERE entre autre...

Aujourd'hui, sous le nom approximatif de Street Art, il est devenu un phénomène quasi universel. Ce qui était initialement interprété comme du “graffiti“ vandale ou rebelle – une pratique d’écriture ou de gravure située dans des rues désaffectées de villes à l’abandon, sur des murs décrépis des mots d’esprits et des affiches insolentes, s’est affirmé en tous lieux et tous milieux. Le Street Art est aujourd’hui entré dans les mœurs au plan mondial. Il est reconnu artistiquement et politiquement, même s’il continue d’irriter certains.

Il est des quartiers de Paris submergés de ces graffitis qui vont des plus beaux aux plus moches. Ils donnent à la ville et aussi à la campagne une autre silhouette. Des tags en forme de signatures pour imprimer un passage ou une appartenance.

Le BEAU en opposition au laid et encore plus au vide. Le vide sidéral prôné par certains architectes urbanistes qui sont les fossoyeurs de la créativité artistique. Les rois de la façade lisse et sans nom d'immeubles afin de rendre le moins cher possible leur construction.

Oui, les fossoyeurs de la beauté ne doivent plus sévir dans nos cités.

J'ai vécu mon enfance et mon adolescence dans une cité HLM de la banlieue où les tours côtoyaient des immeubles plus laids les uns des autres. Comment ne pas devenir des êtres neurasthéniques, voire hors normes, quand on vit dans des lieux si moches ?

 

Pour contre carrer cela il y a des artistes qui œuvrent en habillant les immeubles :
Pierre-Paul Battesti 

Allez voir le site web ici.....

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