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L'anarchiste par Eric Galardelli...

Qui est Eric Galardelli ? Voici quelques éléments de réponse...

 

     1/ Pour que nos lecteurs vous connaissent un peu, pouvez-vous nous parler de vous et

vous présenter ?

     ■ Je suis né en 1967 à Marseille mais j'ai passé mon enfance à Divonne les bains à la frontière

Suisse, mon père étant employé de jeux, ma mère est originaire de Propriano où j'ai décidé de

vivre à partir de 1989. Après des études commerciales à Cannes dans les années 80,  J'ai donc rejoint Propriano ou je me suis marié. J'ai fait une carrière dans le commerce, tour à tour commerçant, agent commercial et directeur d'un grand magasin de jardinage. J'ai deux enfants de 28 et 23 ans. Mon fils qui sort de l'ESRA est photographe professionnel et  ma fille comédienne.(école de théâtre Raymond Acquaviva "atelier Sudden")

 

     2/ Depuis quand écrivez-vous ? Est-ce votre premier ouvrage ? (n’hésitez pas à les citer…)

     ■  J'ai déjà écrit deux ouvrages par le passé, le premier était un roman d'anticipation, "Un monde parfait". Le second un thriller, 'La maison des autres". Je ne suis pas parvenu à les faire éditer mais j'ai gardé le goût de l'écriture.

 

     3/ Y a-t-il un côté vécu dans votre ouvrage ?

     ■ Il y a toujours une part de nous même dans nos ouvrages, même si celui-ci est une sorte de biopic romancé. Il est important de se livrer un peu dans nos lignes.

 

     4/ Pourquoi le choix du titre, « L’anarchiste… » ? 

     ■ Ce titre s'est imposé puisqu'il reflète exactement ce qu'était le personnage principal, mon arrière grand-père en l'occurrence. C'est en tous cas cette appartenance au mouvement anarchiste qui m'a donné l'envie d'écrire sur lui. 

 

     5/ Pensez-vous que derrière votre personnage, vous parlez de vous ?

     ■ C'est possible, j'ai une part de révolte en moi, même si je suis plus policé, j'ai du mal avec l'autorité et j'ai un grand besoin d'indépendance.

 

     6/ Comment écrivez-vous ? Comme Amélie Nothomb qui se lève à l’aube et écrit, écrit… ?

     ■ Je suis plutôt du soir, j'aime écrire en fin d'après midi, entre chien et loup, quand la maison est silencieuse. Je peux alors me concentrer et oublier les tracas de ma journée. Je m'enferme ainsi dans ma bulle jusqu'à ce que, en début de soirée, la maison s'anime à nouveau autour de moi. 

     7/ Comment, sur ce point, votre travail s’est-il articulé ?

     ■ J'ai alterné recherches historiques et écriture, progressant par étapes dans mon histoire, avec la sensation que mon personnage me murmurait à l'oreille. J'aime que les anecdotes relatées collent avec la chronologie de mon histoire. J'ai ainsi mêlé les faits historiques aux bribes connues de sa vie et de celle de ma famille sans que l'on puisse détecter à quel moment l'histoire est romancée ou réelle.

     8/ Quant à vous, quelles sont vos racines et vos liens avec la Corse ?

     ■ Même si j'ai vécu mon enfance loin de la Corse, j'y suis venu tous les étés de ma jeunesse. Mon enracinement y est profond. J'y vis par choix depuis plus de trente ans et mon épouse est aussi de la région du Sartenais. Même si les difficultés liées à l'insularité nous ont parfois paru lourdes, je ne sais pas si l'herbe est plus verte ailleurs. La Corse reste un merveilleux endroit pour élever des enfants même s'il leur faut prendre leur envol sous d'autres cieux, nous savons que nous sommes ici chez nous. Profondément enracinés. 

     9/  Avez-vous un autre projet d’écriture en cours ?

     ■ J'ai en effet commencé un nouveau projet, on ne se refait pas, mais ma situation professionnelle ne me permet actuellement pas d'avancer. J'ai besoin d'être plus disponible afin de construire mon histoire. J'ai ainsi régulièrement fait de longues pauses entre mes projets et le temps de l'écriture reviendra, j'en suis convaincu.

     10/ Quelques phrases librement...

     ■ Pour moi, l'écriture est un besoin. Même si je fais des pauses, un projet à besoin de mûrir dans mon esprit avant de prendre vie par écrit. Mais lorsqu'il est suffisamment mûr, j'ai besoin de coucher les mots, de lui donner vie. Ce n'est que lorsque j'ai terminé que je peux le chasser de mes pensées. Je suis aussi toujours très étonné lors des relectures, de voir ce que j'ai écrit, mes tournures de phrases, le vocabulaire que j'ai l'impression de découvrir comme si ce n'était pas moi qui les avait écrits. C'est assez déstabilisant, comme si  j'étais possédé par un personnage invisible au moment de l'écriture.

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