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Trump et Maduro... 
en trompe f'oeil
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Il sera plus facile de contrôler le VENEZUELA que le GROENDLAND pour Trump, il a déjà sa copine qui votera pour lui  pour le Nobel de la Paix...

En fait depuis 1998, année de l'élection de Hugo Chávez, les relations entre les deux pays se sont tendues. Depuis le 23 janvier 2019 , les États-Unis ne reconnaissent plus le président vénézuélien Nicolás Maduro et tentent de favoriser son renversement. Le Venezuela fait également l'objet de sanctions économiques.

Paradoxalement, la crise de Trump sert les intérêts de Maduro, car le Venezuela traverse une crise politique, économique et humanitaire. Plus de 5 millions de personnes ont quitté le pays dans un contexte de violence et de pénurie alimentaire accablant. Il s'agit aujourd'hui du plus grand exode de notre époque en Amérique latine.

Mais Trump qui n'est certainement pas un as de la négociation voit ses plans être battus en brèche !

Ne soyons pas naïfs, si Trump lorgne sur le Venezuela c'est pour ses richesses naturelles, il en est de même avec la Canada et le Venezuela !

​A l'heure où nous écrivons cet article les troupes des USA se massent devant les côtes du Venezuela. 

Le président américain n'exclut pas une intervention militaire sur le territoire vénézuélien et a déjà déployé le plus grand porte-avions du monde dans les Caraïbes, ainsi qu'une flotte de navires et d'avions de chasse. Car, selon Donald Trump, Nicolas Maduro serait un dirigeant de cartel. L'intéressé ne compte pas céder à la pression américaine. Les autorités vénézuéliennes affirment même que cette pression vise à renverser le président en place et à s'emparer des ressources pétrolières du pays. "Cela fait 17 semaines que les États-Unis ont entamé une guerre psychologique. Ces pressions immorales visent à terroriser notre peuple, mais nous avons montré une force fabuleuse et une résistance nationale", assure Nicolas Maduro, président du Venezuela.

Depuis plusieurs mois, Washington a procédé à une vingtaine de frappes américaines contre des bateaux de narcotrafiquants, du moins c'est ce que disent ses services.

Comment lutter contre la drogue ?
Ne faut-il pas essayer de stopper la consommation ? L'action sociale de Trump ne semble pas prendre cette direction, connait-il le mot "social" ? c'est la politique de l'argent, du bling bling ! Trump a autorisé le Pentagone à utiliser la force militaire contre les cartels de la drogue, rebaptisés « organisations terroristes étrangères ». Il a permis des actions clandestines de la CIA au Venezuela. Dès lors, tout est possible. De la provocation servant d’étincelle au déclenchement d’un conflit jusqu’à la « frappe de décapitation » – sachant que la supposée tête des supposés « narcos » s’appelle Maduro. On se gardera d’oublier les potentiels officiers vénézuéliens ou autres paramilitaires et aventuriers de tous calibres qui, appâtés par les 50 millions de dollars, chercheraient à neutraliser le chef de l’État. 

Donald Trump s'intéresse au pétrole vénézuélien, lui dont le pays est le plus gros producteur de pétrole au monde avec plus de 20 millions de barils par jour ?

La première raison est d'ordre purement économique. Le précieux hydrocarbure qui jaillit du sol américain est, dans sa grande majorité, du pétrole de schiste, très léger, et exploité depuis une vingtaine d'années seulement. Or, l'industrie pétrolière américaine n'a pas été conçue autour de ce type de pétrole, mais d’un autre aux propriétés différentes.

« Les États-Unis ont besoin de ce pétrole vénézuélien pour approvisionner leurs raffineries », note Olivier Appert, conseiller au centre énergie de l'Institut français des relations internationales. « Les raffineries américaines, à partir des années 1950-60, ont été construites pour traiter ce pétrole vénézuélien qui est lourd et nécessite des unités de transformation spécifiques. »

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Nous remercions le professeur Sadek SELLAM de nous avoir honoré de sa correspondance 

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