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Métiers : Artiste... Graphiteur, Vidéaste & Photographe

 

Il est de plus en plus difficile pour les jeunes de vivre de leur métier et de leurs passions. La pandémie est passée par là et fait des dégâts. Les mesures sanitaires, le confinement jouent un rôle destructeur sur la jeunesse.

On m'aurait dit il y a à peine 1 an que l'on vivrait ce genre de situation mondiale, même le mieux fait des films d'anticipation, je n'y aurais pas cru. Quels scenarii des Spielberg n'ont pas pu voir venir...

Au-delà de ces interrogations, que reste-t-il pour les jeunes, c'est ce que nos avons voulu montrer par l'exemple...  

Faut-il s'être coupé une oreille pour voir ses toiles se vendre si cher ?

Quel plaisir de se mettre devant une toile, un Van Gogh et se glorifier "c'est moi qui l'ai acheté" vis à vis de ses amis... Un signe extérieur de richesse qui est un pied de nez à l'Art... 13 millions d'euros. Je préfère ce qui s'est passé à Londres, où une œuvre de l'artiste de rue britannique, Banksy, mettant les soignants à l’honneur s’est arrachée mardi aux enchères au prix record de 29 millions de dollars canadiens, qui seront reversés au service de santé britannique, mis à rude épreuve par la pandémie de coronavirus !

Publié le 23 mars 2021 à 10h46​ / CHARLOTTE DURAND / AGENCE FRANCE-PRESSE...

Oui donc je vous parlerai de Flora et de ce qu'elle met en images, et aussi de Philippe Mastrocola. Ce qui les réunis, ils ont le même âge 26 ans, sont tous les deux québécois, un Etat où la créativité est essentielle, voire vitale.

Transformer Montréal en galerie d'art à ciel ouvert, c'est ce que s'emploie à faire Philippe Mastrocola.
Ses toiles ? Les murs de la ville. L'artiste peint ici et là, souvent par-dessus des graffitis. Ses œuvres se démarquent par leurs couleurs éclatantes, par leurs mouvements longs et fluides. «Je fais de l'abstrait total. Il n'y a personne à Montréal qui fait des murales abstraites comme ça», explique fièrement le jeune homme.

Ne peint pas sur un mur qui veut. « Avoir une surface, ce n'est pas facile. C'est très compétitif à Montréal, il y a beaucoup de muralistes talentueux », explique-t-il. Contrairement aux graffiteurs, les muralistes ne peignent pas sans l'autorisation du propriétaire de la surface convoitée. D'autant plus que ce sont des œuvres qui exigent du temps. Quant à Flora, vous avez besoin d’une photographe publicitaire pour mettre en valeur votre entreprise via vos produits, garder un souvenir d'un évènement ? Alors contactez-la et vous serez ravis. L'Art est toujours présent dans l'œil de ces deux artistes.

Chacun avec son environnement et ses touches personnelles...

Juliette


Allez les voir :

Philippe : http://philippe-mastrocola.squarespace.com

Flora : florabattesti.com 

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 <= Flora 

                         Philippe =>

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