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Cécile Belmont Battesti

Créatrice de La Mira'Belle

Animatrice des Ateliers Expression Créative

 

Signes particuliers : vit en Corse-du-Sud. Adepte de tout ce qui est naturel en matière de mieux-être, elle aime partager autour d’elle des infos à propos de ce qui lui fait du bien. Par exemple : le reiki, la méditation, le yoga ou encore les plantes, la spiruline, les élixirs de cristaux…

 

C’est dans cette optique qu’est née La Mira’Belle, dont l’objet est la recherche et la diffusion d’informations concernant les méthodes naturelles pour accéder au bien-être, tant sur le plan physique que psychique. Ces informations s’adressent aux personnes partageant le même souhait d’atteindre cette plénitude à laquelle nous aspirons tous…

 

Blog de la Myrtille :

Cilou Blue Berry

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Voir aussi le blog :

Elsybio & La Mira’Belle

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Ateliers La Mira’Belle

Guy Corneau ou L’étincelle de vie…

 

 

 

Le psychanalyste Guy Corneau s'est éteint le 5 janvier 2017 à l'âge de 65 ans

C’est ainsi que j’ai appris la triste nouvelle, en découvrant cette publication de Psychologies Magazine : Salut l’ami Guy Corneau, article dans lequel lui rendent hommage, entre autres, Arnaud de Saint Simon (directeur de Psychologies) et Jacques Salomé.

Qui était Guy Corneau ? Pour Arnaud de Saint Simon, Guy Corneau était « un grand alchimiste, joyeux et lumineux »…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photo Nancy Lessard

 

D’origine québécoise, ce psychanalyste formé à l’Institut Carl Gustav Jung de Zurich était aussi un célèbre conférencier et animateur de stages. Il a été à l’origine de la création des Productions Coeur.com, organisme réunissant des artistes et des thérapeutes pour la création de nouveaux types d'ateliers, de séminaires et de voyages alliant la compréhension psychologique et l'expression créatrice dans une perspective d'ouverture du cœur.

 

Guy Corneau est aussi l'auteur de plusieurs livres :

 

- « Père manquant, fils manqué », Les Éditions de l'Homme, 1989

- « L'amour en guerre » (titre pour le Québec), Les Éditions de l'Homme, 1996 - paru en France sous le titre « N'y a-t-il pas d'amour heureux ? », Éditions Robert Laffont, 1997 puis Éditions J'ai lu, 1999

- « La guérison du cœur », Les Éditions de l'Homme, 2000 - Éditions Robert Laffont, 2000 puis Éditions J'ai lu, 2002

- « Victime des autres, bourreau de soi-même », Éditions Robert Laffont, avril 2003 - Les Éditions de l'Homme, septembre 2003

- « Le Meilleur de soi », Les Éditions de l'Homme, janvier 2007 - Éditions Robert Laffont, mars 2007

- « Revivre ! », Les Éditions de l’Homme, octobre 2010 - Éditions J'ai lu, 2013

A propos de son sixième livre, « Revivre ! », voici ces extraits de l’article-interview : Guy Corneau : « Mon cancer m’a aidé à me sentir vivant », paru dans Psychologies Magazine en février 2011 :

 

Guy Corneau :Quand j’ai appris mon cancer, je sortais de l’écriture du Meilleur de soi, mon livre le plus abouti, toute ma trajectoire philosophique, psychologique, spirituelle. Je me suis donc posé la question de savoir pourquoi j’avais besoin d’être à nouveau tellement malade. Je pense que le cancer a permis un démantèlement de certaines défenses extrêmement profondes que j’avais mises en place très tôt pour échapper à l’incompréhension, pour survivre à mon enfance. Il faut aller très loin pour défaire ces murs de séparation entre soi et soi-même qui sont aussi des séparations entre soi et les autres. Et il faut parfois être en face de la mort pour pouvoir démanteler ce qui nous a permis de vivre. Malgré tout ce que je sais, tout ce que je connais, tout ce que j’avais expérimenté, je n’avais pas réussi à faire cela

 

Interrogé au sujet de la peur de la mort, Guy Corneau avait répondu :

Côtoyer la maladie mortelle m’en a libéré : je ne peux pas dire que je n’ai pas peur de la mort, bien sûr, mais j’ai une confiance absolue dans cette « chose » qui continuera. Et cette « chose », j’ai l’impression de la fréquenter de plus en plus près. Je me sens plus en sécurité qu’avant.

 

Quelque chose en lui continuera, j’en suis sûre. Cette étincelle de vie qui brillait dans son regard, j’ai eu l'immense bonheur de la ressentir il y a quelques années. C’était lors d’une conférence organisée à Aix-en-Provence. Quelle lumière émanait de cet homme !

 

Peu de temps avant cette conférence, j’avais lu son 5ème livre, « Le Meilleur de soi ». Cette lecture m’a beaucoup apporté… C’est d’ailleurs resté l’un de mes livres « phare », une véritable source d'inspiration vers laquelle se tourner à certains moments-clés de l’existence. J’ai écrit deux articles au moment où je lisais ce livre. Je vous propose celui écrit en second (à quelques jours près !). C’était au mois de Mai 2007…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Âme, Str’âme, Gramme… Décryptons les z’anagrammes !!

Image & magie. Aimer & Marie. Aube & beau. Étreinte & éternité. Baignade et badinage. Migraine et imaginer. Réaction & création…

 

Une anagramme (du grec ανά, « en arrière », et γράμμα, « lettre »), nous dit Wikipédia, (l’encyclopédie libre !), est le résultat de la permutation des lettres d'un ou plusieurs mots de manière à produire d'autres mots qui ont un sens. Jeu littéraire, il peut aussi avoir une valeur ésotérique. Il a fait l'objet de l'attention autant des linguistes - à l'instar de Ferdinand de Saussure - que des psychanalystes et des poètes contemporains. Normal que cela me parle donc !! Ben oui, j’ai étudié les sciences du langage et plus tard, j’ai lu Lacan qui a fait le lien entre les travaux de Saussure et ceux de Freud : la linguistique et la psychanalyse donc. Et encore plus tard, j’ai poursuivi mes recherches du côté de la lit-tes-ratures, avec des écrivains et poètes de toutes époques, de toutes écoles… Romantisme, réalisme, surréalisme et écriture automa’tic…

 

Les anagrammes sont d’ailleurs également souvent utilisées par les auteurs pour se choisir un pseudonyme :

            Boris Vian →  Bison ravi et Brisavion ;

            Jim Morrison →  Mr Mojo Risin ;

            Marguerite de Crayencour →  Marguerite Yourcenar ;

            Salvador Dalí →  Avida dollars (surnom donné par André Breton)…

 

Ah oui, et puis en voilà un beau, avec les 7 péchés capitaux : Avarice, Colère, Envie, Gourmandise, Luxure, Orgueil, Paresse qui donne : « La voie du Savoir, en ocre coloré, exige un passage sur le critérium » !

 

Euh, c’est quoi un « critérium » ?? Une épreuve sportive de qualification, me renseigne le Larousse de poche 2005 ! Aaah !! C’est donc ça !!

 

Bon, bon… Revenons à nos moutons. Comme d’habitude, j’ai tendance à me disperser… Mais à force d’essayer de se canaliser, on arrive petit à petit à créer une unité… Composée ou recomposée ! Et pour cela, certaines lectures sont une aide précieuse ! D’ailleurs, en ce moment, mon livre de chevet est : « Le meilleur de soi », du psychanalyste québécois Guy Corneau.

 

Et c’est là que j’en reviens à cette anagramme : réaction / création...

Bon, comme cet article s’étend sur 4 pages,

Pour le lire dans son intégralité,

Je vous propose de le télécharger : ICI !

Et pour celles & ceux qui le souhaitent, voici aussi mon premier article, intitulé :

De la pesanteur à l’apesanteur –

Ou comment s’alléger d’un poids mort pour aller vers la vie…

 

 

Cécile Belmont Battesti

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