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                       La une du mois d'août 2020
                                     "L'été sera chaud"

 


Paroles: D. BARBELIVIEN - E. CHARDEN Musique: G. MATTEONI - E. CHARDEN
Même s'il pleut l'été sera chaud,
Dans les tee-shirts dans les maillots,
D'la Côte d'Azur à Saint-Malo
L'été s'ra chaud, chaud!
Où vais-je aller?
Qui vais-je aimer hé hé, hé?
Dans quel été,
Je vais plonger hé hé, hé?
Où vais-je aller,
La rencontrer hé hé, hé,
J'peux pas lutter,
J'sais pas danser hé hé, hé (...)

Parmi les dates qui jalonnent notre histoire contemporaine le 25 Août 1958 semble totalement occulté. Et pourtant, la nuit du 25 au 26 août de cette année-là marquait un tournant déterminant de la lutte pour l’indépendance. Le FLN ouvrait un second front en déclenchant sa guérilla urbaine sur l’ensemble du territoire de la France métropolitaine.

Cette nouvelle forme de lutte avait pour but d’amoindrir le potentiel économique de l’Etat colonial, maintenir une partie de l’armée française sur le sol métropolitain, affaiblir de la sorte l’importance du contingent face aux Moudjahidine dans les maquis d’Algérie, et enfin sensibiliser un peuple français encore peu conscient des horreurs de la guerre de reconquête menée en son nom depuis près de quatre années.
C’est ainsi que les responsables du FLN en France, s’estimant prêts à l’action, allaient fixer au 25 Août 1958 à zéro heure le déclenchement de ce combat singulier. Parmi les nombreuses actions entreprises, celle menée contre les dépôts pétroliers de Mourepiane près de Marseille a particulièrement marqué les opinions interne et internationale, alertées par les médias, surpris par l’événement et stupéfaits par ses répercussions. Mais l’attaque de Mourepiane s’inscrit dans le cadre global de ce second front ouvert, selon les directives du CCE transmises, en mai 1957, par Abbane Ramdane à Omar Boudaoud, chef de la Fédération de France du FLN.

Aujourd'hui, c'est un virus qui fait sa Loi et il la fait dans le monde entier. Un monde divisé, crispé qui vit sur des antagonismes qui vont ml'amener à sa perte. Les glaciers fondent, les gaz retenus s'échappent causant déjà d'irréparables dégâts sur la vie terrestre. Des alarmes sonnent mais on dénigre, on se moque de la jeune Greta Thunberg

Que devient-elle au fait ?

On s'en fiche a priori... et les gilets jaunes ? Les infirmières-iers ? etc.
La liste est bien longue, celle des oubliés. Certains attendent un vaccin, espérant vivre comme "avant". Mais avant c'est quoi ?

On a déjà oublié... l'humain vit au jour le jour, il commence à comprendre qu'il est mortel et sur terre que pour un temps très court, voir réduit. Les virus, eux se portent bien et se fichent comme de l'an 40 des causes comme des effets.

Alors chères lectrices et chers lecteurs profiter de chaque jour pour aimer et vivre vos amours.

Dites "je t'aime" à celui ou celle de votre cœur laissez de côté ce qui vous ennuie et vous agace.

Profitez...

Ray Bradbury dans Fahrenheit 451 (1953) parle de « petits objets » semblables à des « coquillages » ou des

« dés à coudre » que l’on placerait dans nos oreilles pour ne pas voir et ne pas penser au monde extérieur,

ce qu’on pourrait assimiler aujourd’hui à nos écouteurs.

Notre planète va-t-elle devenir « Dune » ?
Nous vivons une période de sciences fiction, les pages s’écrivent chaque jour et les responsables politiques doivent connaitre l’incertitude du lendemain.

En France les changements de pieds sont quotidiens, c’est navrant de constater combien nos femmes et hommes politique essayent de faire comme s’ils dirigeait quelque chose.

Aujourd’hui nous pouvons regarder réagir en grandeur nature l’humanité se débattre dans cette attaque virale qui bien entendu frappe mortellement les plus faibles, les pauvres, les personnes âgées…

De nombreux auteurs ont prédit des innovations, des découvertes encore inconnues. Jules Vernes avait parlé par exemple de l’énergie nucléaire dans son œuvre 20 000 lieues sous les mers (1870) alors que le premier réacteur jamais inventé et utilisé date de 1942.

Pour Frank Herbert, il n'y a pas de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l'épice de longue vie, née du désert, et que tout l'univers achète à n'importe quel prix. Richesse très convoitée : quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi mystique. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et qui, à la tête des commandos de la mort, changera le cours de l'histoire.

Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l'espèce. Tout est fécond dans ce programme, y compris ses défaillances.

Que sera demain, les entreprises pharmaceutiques rivalisent de communications afin de doper leur trésor. Aucune solidarité, aucune alliance dans ce défit mondial de la recherche d’un antiviral !

A moment où la France du confinement prend des allures angoissantes et surréalistes, il faut relire le roman de Robert Matheson, « Je suis une légende », où vampires et survivants s'ancrent dans une irréelle réalité.

Pour Pierre-Antoine Marti doctorant en histoire, EHESS, Sidération générale et villes mortes ou presque, brusque exode urbain, crainte des pénuries, et cette menace lancinante d’un virus invisible qui chaque jour fait davantage de dégâts… la France du confinement prend des allures angoissantes et surréalistes. Dans les médias et jusque dans nos échanges quotidiens, nombreux sont les témoignages qui comparent la situation à « un (mauvais) film de science-fiction » : il s’agit pourtant bel et bien de notre nouveau quotidien. Mais il est vrai que les spéculations anticipatrices ont bien souvent exploré le thème de l’épidémie. Beaucoup considèrent Mary Shelley comme la mère de la science-fiction moderne grâce à son Frankenstein : dès 1826, dans une œuvre justement intitulée le Dernier Homme, elle imaginait une peste ravageuse frappant l’humanité à la fin du XXIe siècle, jusqu’à ne laisser sur la surface de la Terre qu’un seul être humain en vie.

 

La Une de juillet 2020 :

1/ Dupont-Moretti

2/ Trump et la Covid

3/ Fabrice Bonardi

4/ Corse : non à la France ?

5/ oumma.com

6/ Barbara Pompili

7/ L'hydrogène naturel

8/ Quenza et la G

9/ ZNIEFF de Piana

10/ Air Corsica : luc Bereni

11/ Zachary Richard

12/ Vice : Hong Kong

13/ Maison des fous chez Astérix

14/ Navajos et corona virus

La une du mois de juin :

1/ La Covid au Québec

2/ Mercedes et la batterie électrique (les nouvelles voitures...)

3/ Emmanuel Macron a persisté dans l'erreur

4/ U Levante : lettre ouverte 

5/ Pierre Mattei : "vers une saison dégradée"

6/ Richard Bellamy

7/ Via Stella : le virus en Corse

8/  Rihla : son rôle dans le voyage interculturel et interconfessionnel 

 

 

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